Les pépites d’or de Maevatanana



L'HISTOIRE DE MADAGASCAR



Nous sommes à Madagascar, plus précisément à Androfiakely, à 3 kilomètres sur les hauteurs de Maevatanana. Les mineurs y recherchent de l’or dans un quartz aurifère issu d’un gisement primaire peu profond. Ils concassent ensuite le quartz dans des mortiers installés devant chaque habitation, puis procèdent au lavage à la batée, avant de se rendre, en fin de journée, chez le collecteur à Maevatanana pour vendre leurs pépites.


Au loin, on distingue les collines en direction de Tsitialakamisy, à une vingtaine de kilomètres. C’est là qu’un jour, vingt kilos d’or furent découverts, concentrés dans un mètre de quartz seulement !

En arrière-plan s’étend la rivière Betsiboka, puissante et impressionnante, surtout durant la saison des pluies, de novembre à avril.

Le lundi, jour de marché hebdomadaire à Maevatanana, les orpailleurs viennent se procurer des batées neuves. Celles-ci sont fabriquées à partir de fûts métalliques de 200 litres recyclés par un pasteur qui vit à un kilomètre de la ville, sur la route de Majunga.



Les pépites d’or de Maevatanana


L'HISTOIRE DE MADAGASCAR


Nous sommes à Madagascar, plus précisément à Androfiakely, à 3 kilomètres sur les hauteurs de Maevatanana. Les mineurs y recherchent de l’or dans un quartz aurifère issu d’un gisement primaire peu profond. Ils concassent ensuite le quartz dans des mortiers installés devant chaque habitation, puis procèdent au lavage à la batée, avant de se rendre, en fin de journée, chez le collecteur à Maevatanana pour vendre leurs pépites.


Au loin, on distingue les collines en direction de Tsitialakamisy, à une vingtaine de kilomètres. C’est là qu’un jour, vingt kilos d’or furent découverts, concentrés dans un mètre de quartz seulement !

En arrière-plan s’étend la rivière Betsiboka, puissante et impressionnante, surtout durant la saison des pluies, de novembre à avril.

Le lundi, jour de marché hebdomadaire à Maevatanana, les orpailleurs viennent se procurer des batées neuves. Celles-ci sont fabriquées à partir de fûts métalliques de 200 litres recyclés par un pasteur qui vit à un kilomètre de la ville, sur la route de Majunga.

Les pépites d’or de Maevatanana


L'HISTOIRE DE MADAGASCAR



Nous sommes à Madagascar, plus précisément à Androfiakely, à 3 kilomètres sur les hauteurs de Maevatanana. Les mineurs y recherchent de l’or dans un quartz aurifère issu d’un gisement primaire peu profond. Ils concassent ensuite le quartz dans des mortiers installés devant chaque habitation, puis procèdent au lavage à la batée, avant de se rendre, en fin de journée, chez le collecteur à Maevatanana pour vendre leurs pépites.


Au loin, on distingue les collines en direction de Tsitialakamisy, à une vingtaine de kilomètres. C’est là qu’un jour, vingt kilos d’or furent découverts, concentrés dans un mètre de quartz seulement !

En arrière-plan s’étend la rivière Betsiboka, puissante et impressionnante, surtout durant la saison des pluies, de novembre à avril.

Le lundi, jour de marché hebdomadaire à Maevatanana, les orpailleurs viennent se procurer des batées neuves. Celles-ci sont fabriquées à partir de fûts métalliques de 200 litres recyclés par un pasteur qui vit à un kilomètre de la ville, sur la route de Majunga.



L’or le plus pur est l’or 24 carats

SON SECRET


Il est d’un jaune intense et profond. Toutefois, dans cet état brut, ce métal est trop mou. On le mélange à d’autres métaux pour le rendre plus résistant et lui donner diverses apparences. L’or jaune, appelé or 18 carats (750/1 000), est constitué à 75% d’or pur et sur les 25% restant de 1/3 de cuivre et de 2/3 d’argent fin (en France notamment).

Ailleurs, les pourcentages de cuivre et d’argent peuvent varier pour une tonalité de jaune plus ou moins clair.


L’or gris ou blanc est obtenu grâce à un alliage de l’or avec des métaux tels que le palladium, le zinc ou le cuivre. Il peut être ensuite recouvert d'une fine couche de rhodium blanc pour le rendre plus éclatant. Il est toléré par tous les types de peaux et il est d’une résistance hors du commun.


L’or rose est composé de 75% d'or, de 20% de cuivre et de 5% d’argent.

L’or noir est de l'or blanc recouvert d'une couche de ruthénium ou de rhodium noir. Il séduit particulièrement la gente masculine pour des bijoux hommes.




L’or le plus pur est l’or 24 carats

SON SECRET


Il est d’un jaune intense et profond. Toutefois, dans cet état brut, ce métal est trop mou. On le mélange à d’autres métaux pour le rendre plus résistant et lui donner diverses apparences. L’or jaune, appelé or 18 carats (750/1 000), est constitué à 75% d’or pur et sur les 25% restant de 1/3 de cuivre et de 2/3 d’argent fin (en France notamment).

Ailleurs, les pourcentages de cuivre et d’argent peuvent varier pour une tonalité de jaune plus ou moins clair.


L’or gris ou blanc est obtenu grâce à un alliage de l’or avec des métaux tels que le palladium, le zinc ou le cuivre. Il peut être ensuite recouvert d'une fine couche de rhodium blanc pour le rendre plus éclatant. Il est toléré par tous les types de peaux et il est d’une résistance hors du commun.


L’or rose est composé de 75% d'or, de 20% de cuivre et de 5% d’argent.

L’or noir est de l'or blanc recouvert d'une couche de ruthénium ou de rhodium noir. Il séduit particulièrement la gente masculine pour des bijoux hommes.


L’or le plus pur est l’or 24 carats

SON SECRET


Il est d’un jaune intense et profond. Toutefois, dans cet état brut, ce métal est trop mou. On le mélange à d’autres métaux pour le rendre plus résistant et lui donner diverses apparences. L’or jaune, appelé or 18 carats (750/1 000), est constitué à 75% d’or pur et sur les 25% restant de 1/3 de cuivre et de 2/3 d’argent fin (en France notamment).

Ailleurs, les pourcentages de cuivre et d’argent peuvent varier pour une tonalité de jaune plus ou moins clair.


L’or gris ou blanc est obtenu grâce à un alliage de l’or avec des métaux tels que le palladium, le zinc ou le cuivre. Il peut être ensuite recouvert d'une fine couche de rhodium blanc pour le rendre plus éclatant. Il est toléré par tous les types de peaux et il est d’une résistance hors du commun.


L’or rose est composé de 75% d'or, de 20% de cuivre et de 5% d’argent.

L’or noir est de l'or blanc recouvert d'une couche de ruthénium ou de rhodium noir. Il séduit particulièrement la gente masculine pour des bijoux hommes.



L'histoire de l'Or de Madagascar




Madagascar possède des gisements d’or, mais sa production reste relativement modeste. Selon la Banque centrale, le pays a produit 581 kg d’or en 2019, contre 708 kg en 2018.


La majorité de cette production provient de mines artisanales, exploitées à la main par des mineurs locaux. Souvent situées dans des zones reculées et difficiles d’accès, ces exploitations rendent l’extraction plus complexe et coûteuse.


Quelques entreprises minières internationales sont également présentes, mais leur activité se concentre surtout sur l’exploration et le développement de nouveaux gisements, plutôt que sur une production à grande échelle.


En somme, si l’or est bien présent à Madagascar, sa production reste encore limitée comparée aux grands pays producteurs.


L'histoire de l'Or de Madagascar



Madagascar possède des gisements d’or, mais sa production reste relativement modeste. Selon la Banque centrale, le pays a produit 581 kg d’or en 2019, contre 708 kg en 2018.


La majorité de cette production provient de mines artisanales, exploitées à la main par des mineurs locaux. Souvent situées dans des zones reculées et difficiles d’accès, ces exploitations rendent l’extraction plus complexe et coûteuse.


Quelques entreprises minières internationales sont également présentes, mais leur activité se concentre surtout sur l’exploration et le développement de nouveaux gisements, plutôt que sur une production à grande échelle.


En somme, si l’or est bien présent à Madagascar, sa production reste encore limitée comparée aux grands pays producteurs.


L'histoire de l'Or de Madagascar




Madagascar possède des gisements d’or, mais sa production reste relativement modeste. Selon la Banque centrale, le pays a produit 581 kg d’or en 2019, contre 708 kg en 2018.


La majorité de cette production provient de mines artisanales, exploitées à la main par des mineurs locaux. Souvent situées dans des zones reculées et difficiles d’accès, ces exploitations rendent l’extraction plus complexe et coûteuse.


Quelques entreprises minières internationales sont également présentes, mais leur activité se concentre surtout sur l’exploration et le développement de nouveaux gisements, plutôt que sur une production à grande échelle.


En somme, si l’or est bien présent à Madagascar, sa production reste encore limitée comparée aux grands pays producteurs.